Marie-Ève Daspe détient un doctorat en psychologie clinique de l’Université Laval. Elle est actuellement professeure adjointe au département de psychologie de l’Université de Montréal, chercheure régulière au Centre de recherche interdisciplinaire sur les problèmes conjugaux et les agressions sexuelles (CRIPCAS) et membre de l’équipe SCOUP – Sexualité et Couple. Ses recherches portent sur les déterminants biopsychosociaux du fonctionnement conjugal et de la violence entre les partenaires. Dans une perspective dyadique, elle s’intéresse à la manière dont la réactivité physiologique, la personnalité et l’historique de traumas interpersonnels en enfance (abus, négligence) colorent les interactions conjugales et influencent les risques de violence au sein du couple. Elle étudie également les impacts des médias sociaux sur le fonctionnement conjugal et sexuel des adolescents et des jeunes adultes. Ses projets de recherche actuels sont financés par le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada (CRSH), le Fonds de recherche du Québec – Société et Culture (FRQSC) et la Fondation canadienne pour l’innovation.
Laurence Mignault détient un baccalauréat en psychologie de l’Université de Sherbrooke. Elle est étudiante au programme de doctorat en psychologie dans le cheminement clinique adulte (D. Ps.) à l’Université de Sherbrooke depuis septembre 2017. Dans le cadre de son mémoire doctoral, elle s’intéresse à l’effet modérateur de l’attachement sur les liens entre l’utilisation des applications de rencontre et les comportements sexuels à risque chez les jeunes adultes. Elle a débuté son internat en septembre 2019 au Service de Psychologie et d’Orientation de l’Université de Sherbrooke.
Sarafina est étudiante au programme de doctorat en psychologie clinique de l’Université de Montréal et se spécialise dans le volet recherche et intervention (R/I). Ses intérêts de recherche s’articulent autour des divers impacts de l’utilisation des médias sociaux sur la vie conjugale. Plus spécifiquement, elle examine la manière dont la jalousie liée au contenu numérique du partenaire et la surveillance électronique du partenaire influencent la satisfaction conjugale des adolescents et jeunes adultes avec un style d’attachement anxieux. Sarafina est récipiendaire d’une bourse d’études supérieures du Conseil de recherche en sciences humaines du Canada (CRSH) pour l’année 2020-2021 ainsi que d’une bourse d’études supérieures des Fonds de recherche du Québec – Société et culture (FRQSC) pour l’année 2021-2022.
Brenda détient un baccalauréat en psychologie (B. Sc. Honor) de l’Université de Montréal. Elle est étudiante au programme de doctorat en recherche et intervention, option psychologie clinique (Ph. D. R/I) depuis septembre 2020. Ses intérêts incluent notamment les impacts des traumas interpersonnels à l’enfance et de la personnalité sur le fonctionnement conjugal et la violence au sein du couple. Brenda est récipiendaire d’une bourse des Fonds de recherche du Québec – Société et culture pour l’année 2020-2021 ainsi que d’une bourse d’études supérieures du Conseil de recherche en sciences humaines du Canada (CRSH) pour l’année 2021-2022.
Apollonia détient un baccalauréat en psychologie de l’Université McGill. Elle est actuellement étudiante au doctorat en psychologie clinique (D. Psy.), à l’Université de Montréal. Ses principaux intérêts cliniques et de recherche incluent l’attachement amoureux, les déterminants biopsychosociaux du fonctionnement conjugal, ainsi que la violence conjugale.
Marianne détient un baccalauréat en psychologie (B. Sc. Honor) de l’Université de Montréal. Marianne est étudiante au doctorat en psychologie clinique – recherche et intervention (Ph.D. R/I) depuis septembre 2021. Ses intérêts de recherche incluent tout ce qui a trait à la psychologie conjugale, mais plus particulièrement à la résolution de conflits, la violence et la sexualité dans les relations amoureuses. Marianne est boursière du Conseil de recherches en sciences humaine du Canada (CRSH) pour l’année 2021-2022 et du Fonds de recherche du Québec – Société et Culture (FRQSC) pour l’année 2022-2023.
Florence est étudiante en troisième année au baccalauréat en psychologie à l’Université de Montréal. Elle entamera son projet de recherche Honor sous la supervision de Marie-Ève Daspe (PhD) à l’automne 2022. Elle est aussi auxiliaire de recherche au Laboratoire de recherche sur les interactions et la vie conjugale depuis l’hiver 2022. Bien que ses intérêts de recherche soient nombreux, Florence s’intéresse particulièrement aux déterminants de la satisfaction conjugale ainsi qu’à la communication entre partenaires amoureux.
Arianne termine sa dernière année au baccalauréat en psychologie à l’Université de Montréal. Elle est auxiliaire de recherche au Laboratoire de recherche sur les interactions et la vie conjugale depuis l’hiver 2022 et elle entame un projet de recherche Honor sous la supervision de Dre Daspe sur la thématique de la communication dans les relations amoureuses. Les intérêts de recherche d’Arianne s’articulent autour de plusieurs domaines de recherche, notamment l’intimité et son impact sur la satisfaction sexuelle au sein des relations de couple ainsi que la violence conjugale.
Alexane termine présentement son baccalauréat en psychologie à l’Université de Montréal. Elle travaille comme auxiliaire de recherche au sein du Laboratoire de recherche sur les interactions et la vie conjugale depuis l’hiver 2022. Aspirant au doctorat en psychologie clinique, ses intérêts gravitent autour des relations amoureuses, de la diversité sexuelle et de genre ainsi que du bien-être sexuel, autant individuel que conjugal.
Inès Ait Abdelmalek est étudiante au baccalauréat en psychologie à l’Université de Montréal. Elle est auxiliaire de recherche au Laboratoire de recherche sur les interactions et la vie conjugale depuis l’automne 2021. Inès éprouve une curiosité insatiable envers le comportement et le développement de l’humain et elle se focalise sur le bien-être 2SLGBTQ+, la conscientisation des enjeux trans et non-binaires et les variables de sexe, de genre et d’orientation sexuelle en recherche. De façon plus large, elle s’intéresse à la santé mentale des communautés marginalisées, à l’attachement et à la sexualité dans les relations amoureuses, aux troubles de la personnalité et à la neurodiversité.
Mégan est étudiante en troisième année au baccalauréat en neuroscience cognitive à l’Université de Montréal. Elle est auxiliaire de recherche au Laboratoire de recherche sur les interactions et la vie conjugale depuis l’été 2022 et elle débute actuellement son cours de laboratoire 2 sous la supervision de Dre Daspe. Ses intérêts de recherche sont nombreux, mais Mégan s’intéresse particulièrement à la communication, la sexualité ainsi que les problèmes rencontrés au sein d’un couple.
Anaïka est une étudiante au baccalauréat en psychologie à l’Université de Montréal. Anaïka est récipiendaire de la bourse diversité SCOUP et complète son stage en tant qu’auxiliaire de recherche au Laboratoire de recherche sur les interactions et la vie conjugale pendant l’été 2022. Aspirante au doctorat de recherche et intervention en psychologie clinique, ses principaux intérêts de recherche résident dans l’articulation des enjeux de la sexualité dans les relations amoureuses tels que la diversité sexuelle et l’identité de genre sous un paradigme intersectionnel.
Professeure au département de psychologie de l’Université de Montréal
Professeure au département de psychologie de l’Université de Sherbrooke
Professeure au département de sexologie de l’Université du Québec à Montréal
Professeure au département de sexologie de l’Université du Québec à Montréal
Professeur au département de psychologie de l’Université du Québec à Trois-Rivières
Professeure au département de psychologie de University of Southern California
Professeure au département de psychologie de l’Université de Montréal
Professeure adjointe au département de psychologie de l’Université du Québec à Trois-Rivières