Marie-Ève Daspe détient un doctorat en psychologie clinique de l’Université Laval. Elle est actuellement professeure adjointe au département de psychologie de l’Université de Montréal, chercheure régulière au Centre de recherche interdisciplinaire sur les problèmes conjugaux et les agressions sexuelles (CRIPCAS) et membre de l’équipe SCOUP – Sexualité et Couple. Ses recherches portent sur les déterminants biopsychosociaux du fonctionnement conjugal et de la violence entre les partenaires. Dans une perspective dyadique, elle s’intéresse à la manière dont la réactivité physiologique, la personnalité et l’historique de traumas interpersonnels en enfance (abus, négligence) colorent les interactions conjugales et influencent les risques de violence au sein du couple. Elle étudie également les impacts des médias sociaux sur le fonctionnement conjugal et sexuel des adolescents et des jeunes adultes. Ses projets de recherche actuels sont financés par le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada (CRSH), le Fonds de recherche du Québec – Société et Culture (FRQSC) et la Fondation canadienne pour l’innovation.
Sarah (elle/she/her) détient un baccalauréat en sexologie de l’Université du Québec à Montréal (2015). Elle a ensuite poursuivi à la maîtrise en sexologie recherche-intervention à l’UQAM (2018). Pour son mémoire de recherche, Sarah est allée à Mumbai, en Inde, réaliser des entrevues avec des femmes universitaires afin d’explorer leurs expériences et représentations quant à leur santé sexuelle et reproductive.
Depuis l’automne 2022, Sarah travaille comme coordonnatrice de recherche dans notre laboratoire. Elle travaille aussi pour le Laboratoire d’étude du couple (dirigé par Katherine Péloquin) depuis 2018. Dans ses temps libre, Sarah produit et participe à un balado sexo-féministe, Les SexMaitresses, qui vulgarise et apporte une réflexion sur des enjeux sexologiques et féministes.
Sarafina détient un baccalauréat en psychologie (B. Sc. Honor) de l’Université de Montréal. Elle est étudiante au programme de doctorat en psychologie clinique de l’Université de Montréal et se spécialise dans le volet recherche et intervention (R/I) depuis septembre 2019. Ses intérêts de recherche s’articulent autour des divers impacts de l’utilisation des médias sociaux sur la vie conjugale et de la gestion des conflits via les technologies numériques, spécifiquement chez les jeunes adultes. Sarafina est récipiendaire d’une bourse de fin d’études doctorales des Études supérieures et postdoctorales (ESP) de l’Université de Montréal.
Brenda détient un baccalauréat en psychologie (B. Sc. Honor) de l’Université de Montréal. Elle est étudiante au programme de doctorat en recherche et intervention, option psychologie clinique (Ph. D. R/I) depuis septembre 2020. Ses travaux de recherche portent principalement sur la violence au sein du couple, tout en prenant en compte un historique de traumas interpersonnels à l’enfance, la personnalité des partenaires, la communication au sein du couple et le désir sexuel. Brenda est récipiendaire d’une bourse doctorale du Conseil de recherche en sciences humaines du Canada (CRSH) pour les années 2022-2025.
Apollonia détient un baccalauréat en psychologie de l’Université McGill. Elle est actuellement en dernière année de son parcours au doctorat en psychologie clinique (D. Psy.) à l’Université de Montréal. Sa recherche examine le rôle des pairages d’attachement insécures et des émotions négatives dans leur lien avec la violence conjugale chez les jeunes couples adultes. Apollonia est la lauréate d’une bourse d’études de troisième cycle du Centre de recherche interdisciplinaire sur les problèmes conjugaux et les agressions sexuelles (CRIPCAS) pour les années 2020-2021 et 2022-2023. De plus, elle a reçu la bourse d’excellence Pier-Angelo-Achille en 2023.
Marianne détient un baccalauréat en psychologie (B. Sc. Honor) de l’Université de Montréal. Elle est étudiante au doctorat en psychologie clinique – recherche et intervention (Ph.D. R/I) depuis septembre 2021. Ses intérêts de recherche incluent tout ce qui a trait à la psychologie conjugale, mais plus particulièrement la résolution de conflits, la violence et la sexualité dans les relations amoureuses. Sa thèse doctorale porte sur la prise de perspective lors de conflits amoureux et ses associations avec la satisfaction relationnelle et la perpétration de violence dans la relation amoureuse. Marianne est récipiendaire de bourses doctorales du Conseil de recherches en sciences humaine du Canada (CRSH) et du Fonds de recherche du Québec – Société et Culture (FRQSC) pour 2023-2026.
Maude détient un baccalauréat en neurosciences cognitives orientation neuropsychologie de l’Université de Montréal. Elle est étudiante au doctorat en psychologie clinique (D. psy) depuis septembre 2023. Son essai doctoral porte sur le sentiment de proximité lors de discussions par messagerie instantanée et en face-à-face chez les jeunes couples selon leur satisfaction relationnelle.
Florence détient un baccalauréat en psychologie (B. Sc. Honor), ainsi qu’une maîtrise en psychologie (M. Sc.) de l’Université de Montréal. Elle est étudiante au doctorat en psychologie clinique – recherche et intervention (Ph.D.) depuis l’automne 2024, sous la supervision de Marie-Ève Daspe. Bien que ses intérêts de recherche soient nombreux, Florence s’intéresse particulièrement à la cyberviolence, aux impacts des technologies sur les relations amoureuses, ainsi qu’à la communication entre partenaires amoureux. Sa thèse doctorale porte sur les facteurs de risque pouvant mener à des épisodes de cyberviolence dans le quotidien des couples de jeunes adultes. Florence est récipiendaire de bourses de maîtrise du Conseil de recherche en sciences humaines du Canada (CRSH) et du Fonds de recherche du Québec – Société et Culture (FRQSC) pour 2024-2026.
Ann Xiuli détient un baccalauréat en psychologie (B.Sc.) et une maîtrise en psychologie (M.Sc.) de l’Université de Montréal. Elle est étudiante au doctorat en psychologie clinique (D.psy) depuis septembre 2024. Ses intérêts de recherche portent principalement sur l’impact de l’utilisation des médias sociaux sur les relations de jeunes couples.
Emmanuelle est étudiante au baccalauréat en psychologie à l’Université de Montréal. Elle a suivi le cheminement Honor 2023-2024 sous la supervision de Sébastien Hétu, Ph.D. Elle poursuit actuellement ses travaux dans le laboratoire de recherche en neuro-psychophysiologie (CRIUGM) dirigé par Pierre Rainville, Ph.D., grâce à l’obtention d’une bourse de stage de recherche. Parmi ses intérêts de recherche variés se retrouvent la sexualité et la communication au sein des jeunes couples. Elle explorera notamment ces sujets au cours de son laboratoire 2 à l’automne 2024 au LIVE.
Camille est étudiante de troisième année au baccalauréat en psychologie à l’Université de Montréal. Elle entamera le cours de Laboratoire 2 en septembre 2024, sous la supervision de Marie-Ève Daspe. Ses intérêts de recherche s’articulent autour des relations dyadiques, principalement au sein du couple et de la famille. Elle est plus précisément intéressée par les effets des réseaux sociaux et l’influence des profils d’attachement sur les relations interpersonnelles.
Audrey est actuellement en train de compléter son baccalauréat en psychologie à l’Université de Montréal. Elle est auxiliaire de recherche pour le laboratoire LIVE depuis juin 2024. Ses intérêts de recherche sont surtout portés sur les jeunes (mineurs ou adultes) et les difficultés diverses qu’ils vivent au quotidien dans le contexte sociétal actuel.
Laurence Mignault détient un baccalauréat en psychologie de l’Université de Sherbrooke et elle a complété son doctorat en psychologie dans le cheminement clinique adulte (D. Ps.) à l’Université de Sherbrooke en 2022. Dans le cadre de son mémoire doctoral, elle s’est intéressée à l’effet modérateur de l’attachement sur les liens entre l’utilisation des applications de rencontre et les comportements sexuels à risque chez les jeunes adultes.
Kayla a complété un baccalauréat et une maîtrise en psychologie à l’Université de Montréal. Elle a complété sa maîtrise sous la supervision de Marie-Ève Daspe. Son projet de maîtrise portait sur les différents profils des hommes qui perpètrent de la violence conjugale ainsi que leurs associations avec l’hostilité de genre.
Professeure au département de psychologie de l’Université de Montréal
Professeure au département de psychologie de l’Université de Sherbrooke
Professeure au département de sexologie de l’Université du Québec à Montréal
Professeure au département de sexologie de l’Université du Québec à Montréal
Professeur au département de psychologie de l’Université du Québec à Trois-Rivières
Professeure au département de psychologie de University of Southern California
Professeure au département de psychologie de l’Université de Montréal
Professeure adjointe au département de psychologie de l’Université du Québec à Trois-Rivières