Cette infrastructure de recherche d’avant-garde permettra l’étude des processus interpersonnels impliqués dans le fonctionnement conjugal et sexuel. L’espace nouvellement rénové sera situé au département de psychologie de l’Université de Montréal. L’équipement de pointe permettra entre autres l’observation d’interactions conjugales et l’évaluation de phénomènes physiologiques en laboratoire et dans l’environnement naturel des couples.
Les recherche effectuées au laboratoire porteront sur différents facteurs de risque (e.g., maltraitance en enfance et violence dans les relations amoureuses) et de protection (e.g., intimité et attachement) centraux au bien-être relationnel et sexuel.
Le laboratoire d’observation sur le bien-être relationnel et sexuel apportera des bénéfices tangibles et directs pour les québécois et les canadiens sur les plans scientifique, académique, pratique et social. Les études menées permettront l’identification de processus interpersonnels modifiables qui pourront être ciblés via des interventions psychologiques visant à contrer les effets néfastes de la maltraitance et la violence conjugale, ainsi qu’à promouvoir le bien-être relationnel et sexuel.
Ces recherches seront menées en collaboration avec Sophie Bergeron, Ph.D. et Katherine Péloquin, Ph.D., professeures au département de psychologie de l’Université de Montréal.